Le poids du cartable de nos enfants est un sujet dont on parle depuis des décennies, tous les spécialistes, scientifiques, éducateurs, enseignants et ministres de l’éducation nationale de tous bords ont émis une foule de théories les unes les plus intéressantes et documentées que les autres.
Force est de constater qu’il n’y a pas grand-chose de neuf en la matière, à tel point qu’on peut avoir l’impression que la composition et la masse de ce cartable est devenu ce qu’on appelle communément un marronnier. Les enjeux sont pourtant importants pour la santé, la fatigue et le confort des enfants, particulièrement les adolescents du collège qui sont en pleine croissance.
L’ensemble des professionnels de santé s’accordent à fixer à 10 % du poids de l’enfant, la charge maximale qu’il devrait porter. Au-delà de ce seuil, on risque de voir apparaître des déformations squelettiques comme des scolioses ou des lombalgies chroniques, mais aussi des compressions au niveau du système respiratoire, sans compter cet inconfort quotidien quand on traîne un boulet trop lourd pour soi.
Le poids du cartable du collégien n’est pas une fatalité
Mon expérience de simple mère de famille en matière de cartable est la suivante : le cartable de ma fille devant entrer en 4ème au collège de secteur était fin prêt en fonction des listes de fournitures que l’équipe pédagogique nous avait remises avant la fin de l’année scolaire précédente.
Ma fille, désireuse d’étudier les langues anciennes, ce qui n’était pas possible dans son collège de campagne, avait postulé dans un collège situé à 50 km de notre domicile et se trouvait sur liste d’attente. A peine quelques jours de la rentrée scolaire, elle a fini par être admise dans l’établissement privé que nous avions sélectionné, carte scolaire oblige.
On lui remet alors bien sûr une nouvelle liste de fournitures et surprise ! Il y avait davantage de matières dans son nouveau programme d’études (latin et grec) et quand nous nous sommes mis à collationner les fournitures rubrique après rubrique, nous nous sommes alors rendu compte que les fournitures prévues pour son collège de secteur étaient à peu près deux fois supérieures à celles nécessaires dans son nouvel établissement.
Entre la quatrième et la terminale, ma fille a utilisé des fournitures provenant de la première liste, en les complétant simplement un peu chaque année. Je peux donc affirmer qu’il n’y a aucune relation réelle entre la qualité et le volume des enseignements et le volume de fournitures nécessaires.
Le poids du cartable, tous responsables
Comme pour toute problématique, les uns rejettent les « fautes » sur les autres. Pourtant à y regarder de plus près, l’ensemble des personnes en charge des collégiens ont leur part de responsabilité.
Les parents ne prennent pas toujours en compte le poids du cartable lors de leur achat. Ils sont soumis, ou plutôt leurs enfants sont soumis, aux sollicitations diverses et variées du marketing ambiant qui n’a cure des besoins réels de l’enfant. Il est plus facile de céder aux envies de conformisme bien connu des adolescents que de se lancer dans des explications que ces derniers de toute façon n’entendront pas. C’est à nous aussi, parents, que revient la tâche d’expliquer clairement à nos enfants la manière de soulever une charge sans endommager sa colonne vertébrale, notamment en pliant bien les genoux.
La responsabilité des enseignants est évidemment centrale quand dans toutes les familles on voit ces cahiers grand format de 132 pages remplis au tiers à la fin de l’année scolaire, ces gros classeurs dédiés à chaque matière et ne contenant qu’un petit nombre de feuilles, ces trousses débordant de matériel utilisé sporadiquement ou encore ces porte-vues de toutes les couleurs et de tous les formats. Au sein d’un même établissement, on pourrait par exemple imaginer très facilement qu’une concertation se mette en place en fonction des emplois du temps pour réduire les volumes à transporter quotidiennement par les élèves.
Les éditeurs scolaires ont eux aussi leur part de responsabilité. A l’heure où les problèmes environnementaux sont à l’honneur, pourquoi ne pas privilégier du papier et des couvertures les moins lourds possible et proposer d’ajouter à chaque ouvrage un CD du contenu. Les collégiens pourraient ainsi laisser le support papier à l’école et consulter les extraits dont ils ont besoin à leur domicile. Cette facilité serait certainement un argument de vente de « poids » pour convaincre les enseignants au moment du choix des ouvrages.
Le ministère de l’éducation nationale et les communes qui ont en charge l’équipement des établissements scolaires, ont eux aussi leur part à prendre dans la réduction du poids des cartables par exemple en équipant les élèves de tablettes numériques. C’est donc une démarche d’ensemble et une coordination de tous les acteurs éducatifs qui doit voir le jour, mais quand on connaît les intérêts souvent divergents des uns et des autres, on a la nette impression que la bataille des cartables n’est pas encore gagnée.
Le cartable à roulette, une solution
Faute de solutionner toutes les problématiques concernant le poids des cartables des enfants et du volume des ouvrages scolaires et des fournitures nécessaires, l’une des meilleures solutions apparue récemment est certainement de les équiper d’un cartable à roulettes qui leur permettra de ne pas porter de charge quand la configuration des lieux où ils sont scolarisés le permet mais aussi pendant leurs trajets à pied dans la rue qui peuvent parfois être assez importants.
Le cartable à roulettes est dérivé de la valise de voyage à roulettes qui est universellement utilisée tant elle soulage les voyageurs. Afin de s’adapter à la morphologie et aux goûts de tous les enfants, le cartable à roulette est de nos jours tout aussi attrayant pour le jeune public que le cartable classique.
Le cartable à roulettes pour filles
En plus de son design particulièrement étudié pour plaire aux jeunes filles avec ses couleurs fraîches et chatoyantes, son décor floral bien dessiné et ses rehausses de rose sur toutes les coutures, le cartable à roulettes Fanspack pour fille est un concentré d’aspects pratiques. En premier lieu son poids plume, seulement 349 grammes est l’un de ses atouts majeurs quand on sait que le poids est l’ennemi de l’écolière et de la voyageuse. Parce que ce cartable roulette se fait aussi sac à dos pour les sorties scolaires ou les voyages en famille. Tiré avec ses roulettes sur un chariot extensible et ajustable à toutes les tailles ou porté sans chariot sur le dos pendant les déplacements ou dans les escaliers, la légèreté de sa structure ne fait aucune concession à sa solidité à toutes épreuves. C’est vraiment le sac multi-usages qui plaît à toutes les filles. Son volume de 28,5 litres leur permet d’emporter tout le nécessaire, et même le superflu qu’elles aiment tant et ses dimensions, hauteur 47, longueur 30 et largeur 17 cm, en font l’accessoire indispensable de chacune de leur sortie, même quand la météo n’est pas de la partie. Quand il pleut le sac à roulette Fanspack garde toutes les affaires au sec.
Le cartable à roulettes pour garçons
Même si tout le monde sait que les garçons sont les plus forts physiquement, il n’empêche que leur colonne vertébrale demande des égards à l’adolescence particulièrement quand la croissance osseuse est la plus forte. Il faut leur faire admettre que refuser de porter inutilement des charges n’enlève rien à leurs qualités de guerrier à toute épreuve. Une fois ce pas psychologique franchi, il suffit de leur proposer un sac à roulettes garçon qui leur corresponde. Un sac à roulettes au look anglo-américain comme celui de Pepe Jeans, à la fois léger et bien organisé avec ses compartiments servant autant à transporter les livres, les classeurs et les fournitures scolaires en général que les affaires de sport ou celles pour les voyages, deviendra très vite le bagage préféré des garçons branchés. Quand ils découvriront qu’ils peuvent ranger les bretelles dans un compartiment dédié et couvrir les roues quand ils utilisent leur sac comme sac à dos pour partir à la conquête du monde en famille ou entre amis, le sac à roulettes sera adopté définitivement. Ses dimension sont idéales pour les formats des affaires scolaires mais aussi pour les standards couramment utilisés par les transports aériens. Quand il se fait sac à dos, le cartable à roulettes garçons offre des renforts dans le dos et des bretelles doublées et ergonomiques pour un confort total.
Pour bien démarrer avec un cartable à roulettes
Maintenant que tout le monde, parents, éducateurs et enseignants ont pris la pleine mesure de l’enjeu que représente le fait de ménager les épaules, les bras et surtout le dos des enfants, la meilleure façon de les habituer à utiliser un sac à roulettes est de leur en proposer un dès la petite enfance. Les fabricants de sacs à roulettes ont bien compris cette nécessité d’adapter ces cartables aux goûts et aux besoins des tout petits. Ces sacs à roulettes destinés et pensés pour les jeunes enfants pré-scolaires n’ont pas fini de prouver leur praticité pour les parents. En effet, quand l’enfant est équipé d’un ensemble cartable ou sac à dos à roulettes avec un sac à goûter et une trousse pour les fournitures ou la monnaie demandée pour une sortie scolaire par exemple, le parent qui l’amène à l’école ne risque pas d’oublier un des éléments dans la voiture quand il ou elle est pressé de se rendre à son travail. En voyage, l’enfant peut apprendre l’autonomie très tôt avec l’aide de son sac à roulettes qui non seulement ne lui détruit pas le dos, mais lui permet de gérer ses jouets, livres et autres objets prévus pour le distraire pendant le voyage. Dans les files d’attente des aéroports ou des gares, les parents sont libérés de leur angoisse de perdre le doudou indispensable pour pouvoir s’endormir quand tout est regroupé dans le cartable à roulettes qui se transforme en valisette de voyage, voire simple sac à dos. Il est d’autant plus facile de faire adopter le sac à roulettes aux petits enfants que les designs et les couleurs utilisés redoublent d’imagination pour les rendre attractifs quand ils sont décorés des derniers héros ou héroïnes à la mode ou qu’ils se transforment en animaux ou en peluches. Les bandes réfléchissantes sont un argument supplémentaire surtout en hiver quand le soleil se couche tôt et que les petits ne sont pas toujours bien visibles quand la météo se met à la pluie ou au brouillard.
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